Le rêve américain, entre joie et désillusion : bilan des 6 premiers mois
Ahh le rêve américain… Les États-Unis, pays de la démesure et de tous les clichés ! Nous ne savons pas vraiment dans quoi nous nous embarquons à ce moment-là. Quelques doutes, beaucoup de craintes et un peu d’hésitation se bousculent dans nos têtes alors qu’en même temps une certaine forme d’excitation nous envahi… Il faut bien reconnaitre que nous laissons derrière nous notre petite île paradisiaque, une vie tranquille au soleil, un certain confort en-soi. Avons-nous peur de nous ennuyer à long terme ? Cherchons-nous encore des défis à relever ? Qu’importe, car pour l’instant, tout ce que je me demande en apercevant l’immensité de New York depuis le hublot de notre avion, c’est : “Mais qu’est-ce que nous faisons là ?!”.
Un choc culturel
Le mode de vie, la langue, la gastronomie, le climat, les paysages ou encore la population (et la liste est longue !), on peut dire que tout oppose Nouméa à New York. Nouméa, l’insulaire, la balnéaire, l’apaisante, la tranquille… et New York, la démesurée, l’effervescente, l’imposante, la bruyante, la stressante, ce n’est pas pour rien d’ailleurs qu’on l’appelle la ville qui ne dort jamais… Une bataille perdue d’avance.
Pendant 6 mois, nous avons fait face à de nombreuses déconvenues et où beaucoup de questions surgissaient, nous obligeant à nous remettre perpétuellement en question. Heureusement, nous avons aussi vécu des moments beaucoup plus positifs, riches en surprises… Alors, me direz-vous, que s’est-il réellement passé pendant cette période et où en sommes-nous vraiment aujourd’hui ? Je vous explique tout ça !
Retour à notre premier amour… New York
Une fois que vous posez vos yeux sur Big Apple, vous ne pouvez plus jamais l’oublier. New York, c’est un peu le rêve américain dans toute sa splendeur. Fière, haute, imposante, New York force l’admiration. C’est pour cela que nous décidons de débuter notre aventure américaine par la porte d’entrée historique de tout immigrant sur le territoire de l’oncle Sam.
Nous arrivons donc en terrain “presque” conquis puisque New York a par ailleurs été notre champ de bataille durant un an lors d’une première expatriation en 2011. Les repères reviennent très rapidement : on sait quoi faire, où le faire et surtout comment le faire, ce qui adoucit un peu notre changement de vie. Par chance, nous retrouvons Linda, son mari Ernie et leur chien Trevor, qui sont véritablement notre famille de cœur américaine. Le temps pour nous de trouver un appartement, nous sommes hébergés chez eux dans le New Jersey.
Une organisation colossale
Les premiers jours sont consacrés aux démarches administratives : obtenir un numéro de sécurité sociale, souscrire à un abonnement téléphonique, chercher un appartement à New York… Nous avions déjà fait cela une fois, Craigslist n’avait plus aucun secret pour nous ! Tout est allé très vite puisqu’en une semaine, nous avons trouvé un appartement en coloc’ sur la 116th street à Harlem. (On aura d’ailleurs l’occasion d’en reparler prochainement avec quelques conseils, parce que franchement pour un nouvel arrivant, ce n’est vraiment pas évident pour s’y retrouver).
Ce départ pour une nouvelle vie s’annonçait donc être sous les meilleurs auspices… Oui, mais voilà !
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Erreur numéro 1 : être trop confiant lors de son arrivée
La suite logique a été de chercher un emploi. Nous étions encore dans un état d’esprit très positif, avec – peut-être – un trop-plein d’optimisme sur notre avenir. Au gré de nos différents déménagements, que ce soit en France ou dans d’autres pays, nous avons toujours trouvé assez rapidement du travail…
Oui, mais voilà !
Cette fois-ci, la recherche d’emploi ne s’est pas réellement passée comme prévue. Après avoir vécue presque deux ans hors des sentiers battus, loin du “droit chemin” dans lequel nous pousse la société, je me suis vite rendue compte que j’étais complètement “out” ! Hors-sujet sur la manière de postuler, sur la rédaction d’une lettre de motivation, sur mes performances lors des entretiens (en anglais bien sûr !), ou encore sur les connaissances des nouvelles tendances et innovations dans mon domaine de prédilection. Bref, je n’étais plus un chasseur dans le monde impitoyable de requins que peut être parfois l’industrie… J’étais devenue une petite sardine frétillante ! Ajoutez à cela une solidarité entre français proche du néant, à New York en tout cas, j’ai donc vite déchanté.
Il s’est passé plusieurs semaines pendant lesquelles je ne postulais même plus aux offres d’emploi, puisque dans ma tête, j’étais complètement bloquée. C’est d’ailleurs ce qui m’a permis de développer ce blog, ma seule échappatoire. C’est un mal pour un bien !
Heureusement, nous avons commencé à voir le bout du tunnel quand Greg a décroché un job dans une boite française installée à Miami, avec un poste au titre plus que prometteur… enfin, sur le papier !
Oui, mais voilà !
Au bout d’un mois de travail, son patron lui annonce qu’il ne peut pas le payer. Il y a malheureusement des gens malhonnêtes partout, et ne croyez pas que d’être de la même patrie dans un pays étranger resserre les liens et permet un traitement de faveur… bien au contraire !
Véritable coup de massue, nous venions de toucher le fond.
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Erreur numéro 2 : sous-estimer financièrement le coût d’une expatriation
Il faut bien l’admettre : nous sommes arrivés aux États-Unis très mal préparés (ceci est sûrement dû à l’erreur numéro 1), avec peu d’économies. Pendant deux ans, nous avons dépensé pas mal d’argent en voyageant énormément. (Faut bien avoir matière à alimenter ce blog aussi !). Bref, on connait tous le sort réservé à la cigale dans la fable de La Fontaine !
Aux États-Unis, tout coûte cher, et encore plus à New York. Les loyers, les transports, l’assurance santé, la nourriture, les loisirs… Tout, je dis bien tout coûte cher ! Il faut donc arriver avec une somme conséquente d’argent, parce que vivre à New York, ce n’est pas rien financièrement, d’autant plus quand on n’a pas de revenus.
Avec un loyer de plus de 1.300 dollars par mois pour seulement une chambre, nous ne pouvions pas continuer longtemps comme ça. Peu à peu, une question devenait omniprésente : “Avons-nous fait une erreur de tout quitter pour venir aux États-Unis ?”.
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Erreur numéro 3 : “New York, I love you but you overwhelm me”
“New York, je t’aime mais tu me submerges” n’a jamais autant eu de son sens qu’après ces épisodes successifs où nous avons enchaînés les galères puisqu’une dépression post-installation s’est sournoisement installée. Une fois dans notre appartement en coloc’ à Harlem, nous avons commencé à ne plus trouver de points positifs à vivre ici. Nous n’étions pas en vacances à New York, ce n’était pas pour une période temporaire, on allait y vivre pour une durée illimitée. Unlimited ! Et soudain, tout a pris une autre dimension…
♦ L’hiver à New York n’est pas “wonderful”, Central Park n’est pas “amazing” sous la neige, les rues ne sont pas “so cute” recouvertes de boue.
Pendant plusieurs mois, la ville devient glaciale et mettre le nez dehors devient parfois une épreuve ! N’espère pas sortir sans le minimum vital de tout bon New-yorkais qui se respecte, à savoir : une chapka, plusieurs écharpes en laine, au moins deux paires de gants et surtout de méga Moon Boots. Sinon, tu risques de congeler sur place à tout moment ! Le froid va te cingler le visage comme jamais, des tonnes et des tonnes de neige vont s’abattre sur la ville, tu vas devoir marcher dans la rue avec de la boue jusqu’aux genoux…
Bref, Jonas, l’une des plus grandes tempêtes de neige qui a balayé la côte Est des États-Unis a eu raison de nous.
Nous avions besoin d’habiter dans un endroit où le soleil règne en maître tout au long de l’année.
♦ D’un jour à l’autre, nous ne trouvions plus les gens si accueillants et la vie new-yorkaise si excitante.
Les New-yorkais n’ont jamais le temps (don’t forget, time is money), ils sont donc stressés, pressés, agités… Bref, ils vivent à cent à l’heure. Et quand ils ne travaillent pas, ils passent leur temps dans les transports en commun. C’est bien connu, métro, boulot, dodo. Nous avions l’impression d’être aspirés dans une vie qui allait beaucoup trop vite pour nous. La plupart des américains vivent pour travailler, alors que nous, nous souhaitons travailler pour vivre.
Nous avions besoin d’un endroit où les gens prennent le temps.
♦ Notre appartement, qui devait être une solution temporaire, le devenait de moins en moins.
3 mois plus tard, nous étions toujours dans une coloc’ de 5 personnes, que l’on commençait à détester. D’appartement correct de prime abord, il est rapidement devenu trop sombre, plutôt sale, assez petit et extrêmement cher. La vue depuis notre chambre donnait sur un autre immeuble et nous avions l’impression de vivre dans une boite totalement noyée parmi des milliers d’autres.
Nous avions besoin d’espace et d’air frais.
♦ Le concert des klaxons, des sirènes d’ambulances ou encore les excès de décibels sont devenus insupportables.
Qui n’a pas rêvé des célèbres taxis jaunes new-yorkais, de l’ambiance unique de Times Square ou des ambulances qui réveilleraient un mort à la moindre sirène ? New York a cet espèce de bruit ambiant typique et mondialement connu… Seulement au quotidien, ça peut rapidement devenir un véritable cauchemar ! Et quand nous avons commencé à nous focaliser dessus, impossible de nous en défaire : New York est beaucoup trop bruyante pour nous.
Nous avions besoin de calme et de tranquillité.
Une image qui ne nous correspondait plus
Rapidement, nous nous sommes aperçus que l’image que nous avions de New York était totalement faussée par des souvenirs que nous avions idéalisés. New York est et restera toujours la même, c’est nous qui avons changé. Et malheureusement, pendant les 4 mois où nous sommes restés à Big Apple, en attendant que la situation évolue, nous n’avons vraiment pas profité de cette chance d’être dans la capitale du monde. On manquait d’air, de soleil, de plage, de nature, de calme et de tranquillité.
On s’est dit qu’il fallait que ça change. Ces dernières années, nous avons beaucoup déménagé que ce soit en France ou ailleurs, nous entreprenons de nombreux projets, ce qui nous procure ainsi un certain avantage : nous savons rebondir assez rapidement devant n’importe quelle situation et nous ne craignons pas de prendre parfois des décisions radicales.
Du jour au lendemain nous posons le préavis pour notre appartement. La décision est prise : fin février 2016, nous quittons les États-Unis, et abandonnons notre Carte Verte si chèrement acquise.
Oui, mais voilà !
Fin février, nous sommes effectivement partis de New York… mais nous ne sommes pas allés très loin finalement ! Une dizaine de jours avant notre départ définitif, alors que nous hésitions sur notre prochaine destination, j’ai reçu une proposition d’emploi dans une entreprise qui me plaisait, avec un poste qui m’intéressait, dans l’État que l’on désirait… C’était inespéré… Direction le Sud de la Floride !
Ni une, ni deux, nous avons fait nos valises, et nous avons débarqué à Fort Lauderdale située à une trentaine de minutes de route au nord de Miami. Une situation qui ne pouvait pas être plus parfaite puisque nous retrouvions enfin tout ce qui nous manquait jusqu’à présent : la chaleur, le soleil, la mer et la plage… Bref, le bonheur !
Tout s’est enchainé très rapidement. Grâce à d’autres français rencontrés sur place (enfin un endroit où ils sont solidaires !), nous avons trouvé facilement un appartement. Greg a également décroché un boulot dans une start-up lancée par – encore – un français.
Un second souffle
Aujourd’hui tout va mieux, nous avons su rebondir à temps. On commence doucement à profiter de la Floride et de son extraordinaire environnement, le plus dur de l’installation ayant été accomplie. On aura d’ailleurs l’occasion de reparler très prochainement de cette douce vie dans le Sunshine State !
Moralité de l’histoire : une expatriation ça se prépare. Ne faites pas comme nous. Plutôt que de parcourir le désert australien, grimper au sommet d’un volcan hawaïen et plonger dans les eaux calédoniennes, installez-vous confortablement devant votre ordinateur et potassez votre expatriation ! Même si on a eu extrêmement de chance de décrocher une Green Card, rien n’était joué d’avance. On reconnait être privilégiés, certes, mais il faut savoir se bouger, rester humble et se donner les moyens de réussir. Quoi qu’il en soit, même après toutes ces galères, si c’était à refaire on ne changerait strictement rien… Masos nous ? Pas du tout ! On aime le challenge, fuir la routine et tout simplement vivre nos rêves 🙂
Ah bah, comme ça on a tous les détails de vos péripéties new-yorkaises 😉
Vivre à New-York, ça doit être quelque chose en effet. J’avais adoré visiter la ville et j’aimerais y retourner un de ces jours, mais je me suis aussi pas mal sentie oppresser au milieu de tout ces immeubles, si hauts que le soleil ne passait pas :S (en hiver, il faisait bien froid c’est clair-enfin moins qu’au Québec !)
On a la même conclusion : Avant toute expatriation, il faut bien se préparer !!
Les photos sont très sympa au passage 🙂
Oui voilà, tous les détails ou presque sont là 😉 C’est vrai que l’on ne parle pas trop de cette période new-yorkaise aux gens que l’on rencontre, on la considère un peu comme un “faux-départ” ! C’est effectivement ce qui peut se passer quand on prépare mal une expatriation, et qu’on se trompe de destination aussi ! J’adore New York, cette ville me fascine, mais que pour des vacances… quand à l’hiver au Québec, je préfère ne pas y penser ! ?
Merci pour les photos en tout cas, certaines sont de l’Iphone 4S, alors comme quoi 😉
Je trouve ça super intéressant d’avoir les retours négatifs d’une expatriation. Ça remet les choses en perspective je trouve. Je suis super contente que tu ais décroché ce job en tout cas et que la vie ait repris de jolies couleurs. Xx
Merci pour ton gentil message Ophélie ! Effectivement, une expatriation ce n’est pas rien et si la plupart des gens ne montrent que le positif parce que ça fait “mieux”, il faut quand même avouer qu’il y a des côtés plus négatifs parfois ! Je viens de voir que tu étais expatriée en Angleterre, je vais de ce pas lire comment s’est passé ton changement de vie aussi 😉 A très vite ?
Ma foi, mon changement de vie s’est tellement bien passé que je n’ai rien de négatif à en dire. Ceci dit, l’Angleterre ne demande pas autant de paperasse administrative que les USA, ce qui facilitent un peu les choses. Puis j’ai trouvé le boulot via la fac, l’appartement via l’école qui m’emploie (et qui s’est chargée de faire touuuus les papiers pour moi). Du coup, je me dis que mon expatriation n’est pas similaire aux autres, et j’adore lire des retours sur ça justement. 🙂 xx
Même si je ne suis pas d’accord avec tous les points négatifs, MERCI de montrer que l’expatriation, et surtout l’expatriation à New York n’est pas un lit de roses ! Je ne compte plus le nombre de remarques désagréables quand j’ose me plaindre! New York = dream city, donc ne te plains pas, tu es si chanceuse d’y vivre ! Oui, mais! Tout de bon pour Miami, et profitez du soleil pour moi ! ??
Amy
Merci pour ton retour Amy ! C’est vrai qu’il est beaucoup plus rare de lire des articles qui traitent des moments difficiles d’une expatriation, même si j’avoue que nous avons volontairement poussé certains points négatifs à l’extrême… On adore New York quand même 😉 Mais effectivement, pendant cette période de doutes, impossible de se plaindre à quiconque : “Mais pourquoi tu te plains, tu as trop de la chance tu es à New York quand même !”. Je connaissais déjà ton blog que je lis régulièrement, j’adore tes photos ! Si tu passes par la Floride un jour, fais nous signe 😉
Je me retrouve dans vos 6 mois, après…. 3 ans en Californie. Sans green card, avec un visa restrictif, qui rappelle chaque jour combien l’immigration est un chemin de croix dans ce grand pays, celui de l’immigration choisie…
Les Etats-Unis sont parfois un monde impitoyable, notamment en ce qui concerne les visas effectivement ! Nous sommes conscients d’avoir eu de la chance de gagner une carte verte à la loterie, mais même avec ce visa en poche, immigrer -et s’intégrer- aux US peut être difficile… Je viens d’aller voir ton blog, il est très sympa en tout cas ! Si on comprend bien, tu es en visa provisoire ? Dans tous les cas nous te souhaitons bonne chance pour décrocher le précieux sésame, et en attendant… profite bien du soleil de la Californie 😉
Heureusement que cette histoire se finit bien. Welcome to Florida 😉
L’excès d’optimisme, le coût financier de l’expatriation, le fait de se faire “planter” par un compatriote : beaucoup en passent par là. Le tout étant d’avoir la ressource, financière et physique, pour passer ce “mur” du début. Un fois ça passé, la vie en Floride est super agréable (si on ne craint pas les bestioles en tous genres). Je vous souhaite que la suite soit plus zen dans le sunshine state.
Merci Sylvain ! Une immigration aux US est un bon test psychologique finalement 😉 Cette expérience nous a servi de leçon en tout cas: une immigration ca se prépare à l’avance…. On a l’impression de revivre en Floride, nous y avons fait les bonnes rencontres et ça change tout ! En tout cas on aime beaucoup ton site Objectif USA, c’est une mine d’information 😉
Je ne découvre votre réponse qu’aujourd’hui. Merci du compliment 😉 Encore plein de news à venir.
Bonjour, je lu votre blog je voulais savoir comment avez vous eu votre carte verte, loterie j’ai cru comprendre?
Jai pas mal voyages aux States, et mon but concret c’est de m’y installer mais sans visa c’est très compliquer. Et pour obtenir un visa de travaille également c’est pas chose facile.
Oui effectivement, nous avons gagné la carte verte à la loterie, c’était la première fois que l’on jouait ! Je ne peux que t’encourager à jouer chaque année, c’est absolument gratuit et… qui sait tu peux toi aussi décrocher le précieux sésame ?! Sans ça, s’installer durablement aux US est effectivement très difficile. Après tout dépend de tes qualifications ? As-tu regardé du coté du visa investisseur ? Garde bien en tête également qu’entre voyager et adorer les US, et y vivre, il y a un fossé… On te souhaite bonne chance en tout cas, prochaine loterie en octobre 😉
Après avoir visité New york et profiter de tous ces trésors pendant 11 jours, je ne peux qu’aller dans ton sens. C’est une ville magnifique ! Mais en vacances… Pour y vivre, en tout cas il faut avoir des revenus très confortables, être stressé et “vif” de nature. A penser à une expatriation aux états unis, je conseillerai directement un autre endroit, gardez New York pour les vacances ^^
Miami, c’est pas mal du tout ! En tout cas, merci pour ton blog, non pas pour moi car je me suis rendu compte par moi même que mon mode de vie ne conviendrai pas à cette immensité qui ne dors jamais, mais ce sont de très bons conseils pour les foufous qui veulent partir à l’aventure les yeux fermés 🙂
Bonne continuation
Merci pour ton petit mot Alex ! Effectivement, nous nous sommes rendus compte de notre erreur trop tard en ce qui concerne New York ! On a foncé tête baissée dans une ville qui ne nous convenait pas à long terme… mais ceci est probablement du au fait que nous n’avions pas du tout préparé notre expatriation. Du coup la solution de facilité: on va aller à New York, tout le monde adore 😉 La vie en Floride est exactement ce qu’il nous fallait par contre, et les choses auraient été sûrement bien plus facile si nous avions commencé directement par là ! Tu es aux US toi aussi ? Dans quel coin ?
Merci beaucoup pour ce petit historique de vos difficultés et rebondissements. Je suis aussi dans le même état d’esprit de quitter la France. Mais pas n’importe comment. N’ayant pas de papiers américain. Je tente ma chance cette année avec la loterie green card ( qui ne tente à rien n’a rien 🙂 ). Je suis partie plusieurs fois à miami et aimerez m’y installer contrairement à New York.
On verra ce que l’avenir me réserve en tout cas merci à vous pr ce petit texte cela m’a éclairé.
Merci Mendy ! Même si tu n’as pas encore de papiers, tu as déjà l’avantage d’être sûre de savoir où t’installer et de ne pas faire la même erreur que nous ! Ne baisse pas les bras, tente la loterie tous les ans en Octobre, c’est gratuit… tu n’as rien à perdre, tout à gagner… bonne chance à toi 😉
Bonjour à vous deux,
Si je n’avais pas lu la fin de votre article j’aurais précipitamment commenté en vous disant de venir tenter votre chance en Floride (Miami), car je vie ici depuis 2 ans et pour moi je trouve que la communauté française est vraiment tres solidaire ici la vie est plutôt agréable. New York j’y ai passé quelques jours j’ai su direct que ce n’était pas fais pour moi ça me rappelait Paris en quelques sortent. Mais oui le fait que vous ayez la Green card est un privilège non négligeable 😉
Cordialement
Florian
Ps: peut être que l’on se rencontrera dans notre bel état de Floride 🙂
Bonjour Florian ! Effectivement on trouve aussi que la communauté française est beaucoup plus solidaire ici ! Tu fais quoi en Floride ? En tout cas, c’est vrai que ça pourrait être sympa qu’on se rencontre un de ces jours, on va de temps en temps à Miami 😉
Je travaille pour les night club sur south beach et je viens de creer m’a société de “conciergerie” disons que j’oriente les gens vers les meilleurs prestaitiaires de services et au meilleur prix, pour les locations appartement, villa, bateau, voitures sortie en club, pool party, dîné etc
Oui et bien avec plaisir lors de votre prochain voyage à Miami envoyez moi un petit message +1(305)833-9073
Votre histoire, votre parcours est celui de beaucoup d’immigrants. Heureusement il y a ceux qui ont bien essuyés les plâtres ( j’en fais partie) et qui ont pris de la graine. Je vis depuis plus de 20 ans a Miami et après beaucoup de déboires, mais aucun regret, je me suis lancée dans l’installation de familles entières en mal de faire une vie en Floride. C’est a chaque fois un nouveau parcours mais aussi une nouvelle victoire car chaque “dossier” est vraiment different. Mes clients sont devenus mes amis et ils ont le meme regard quand ils arrivent. La communauté Francaise grossie chaque mois et nous nous retrouvons avec nos qualités et notre savoir incontournable !
Bienvenue Amandine dans ce qui est aujourd’hui mon pays d’adoption et j’espère que vous passerez des moments inoubliable dans cette belle Floride 🙂
Jocelyne
Bonjour Jocelyne et merci pour ton commentaire ! Comment s’appelle ton association ou le groupe pour lequel tu travailles ? C’est toujours intéressant de savoir 😉 En tout cas on te remercie pour tes encouragements et qui sait, peut-être que l’on se rencontrera un de ces jours à Fort Lauderdale ou à Miami !
Bonjour Amandine et Greg. Il ne faut pas regretter en effet. L’aventure c’est ça. C’est d’avoir préparé un peu son voyage et se laisser porter par ce que l’on va trouver. Le principal c’est que vous êtes 2 pour épauler, vous soutenir et cela rend les épreuves plus faciles. Par contre, partir avec de l’argent c’est sûr que c’est plus rassurant. Bon courage et bonne réussite à vous deux. On viendra vous voir. Christophe, Kathy
Bonjour Kathy et Christophe ! Merci pour votre message, ça fait plaisir de voir que vous lisez nos aventures 🙂 J’espère que tout va bien pour vous, et que les projets s’accumulent également de votre côté…
En tout cas, sans problème, si vous passez par la Floride, on sera ravis de vous voir. A très vite.
Bonjour,
j’ai bien aimé vous lire, vos périples et vos difficultés que avez malheureusement rencontré aux USA, mais ayant travaillé 7 mois à NY je n’ai pas dutout rencontré les mêmes difficultés.
En fait je pense que cela dépend surtout de nos habitudes, j’ai vécu en Ile-de-france pendant 17 ans et le rythme de NY est fait pour les vrais citadins, entre Paris et NY il n’y pas de grosse différence et je pense même que les gens là-bas sont moins stressé qu’à Paris en tout point, ce qui m’a plus personnellement.
Mes collègues m’invitaient à courir, ou à faire un basket après le travail ce qui permet de tisser de vrais lien d’amitier, alors qu’à Paris ça se fait très peu , ou sinon c’était pour aller manger un coup puis à demain.
Les relations patrons employés sont correctes, il attend le meilleur de vous, surtout qu’en tant que français ( pays où les grèves sont courantes ) on a plus a prouver que les autres, mais dès que le résultat est là il n’y a pas de problème, et pour les primes c’est très facile d’en obtenir une contrairement à la France…bon je m’étalerai pas sur le sujet mais pour résumer je pense que les vrais citadins ne seront pas autant , voir pas du tout déstabiliser par le train de vie NYais. 🙂
Bonjour Donovan !
Merci de partager avec nous ton retour d’expérience à New York ! Effectivement, il y a des tas de points positifs à vivre à New York, et heureusement 😉 Nous sommes de vrais citadins par contre, nous avons fait toutes nos études à Lyon et je travaillais à Paris… Je ne sais pas si quand tu es arrivé aux US tu avais déjà un travail (j’imagine que oui !) mais nous n’en avions pas et étions donc au “chômage” dans cette ville gigantesque, ce que l’on a très mal vécu ! Peut-être que si on avait mieux préparé notre expatriation nous aurions beaucoup plus appréciés de vivre dans la “capitale du monde” 🙂
Bonjour,
je viens de lire votre blog et votre compte rendu de vos 6 mois a New York. Comme je m’ y retrouve! Ma situation est differente car je suis marie a une americaine, et nous venons d’emmenager a NY. Je pense que je n’ aime pas cette ville. Apres avoir vecu 5 ans en au soleil, je me retrouve ici. Quelle horreur. Je dis toujours en plaisantant que NYC, c’ est juste bon pour les gens qui veulent decouvrir de nouveaux restaurants. Ok, il y a quelques trucs a faire mais fondamentalement je prefere pouvoir nager tous les week-ends que de me balader dans les rues de NY…Suis a la recherche d’ un emploi egalement. Et effectivement, je pense qu’ il y a un manque de solidarite francaise. Il y a peut etre quelque chose a faire ou creer, genre un rendez-vous mensuel, un reseau informel pour partager des plans-emplois, entre francais…etc..J’ ai une base de donnees sur les associations a aller voir pour emploi, creation d’ entreprises. J’ ai pas mal de choses la-dessus, peut-etre pourrais-je les partager mais ou?
Bonne chance en tout cas en Floride.
R
Bonjour R,
Merci pour ton message 🙂 Effectivement nous aussi nous préférons largement nager tous les week-ends plutôt que de nous balader dans des rues bondées et polluées. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons fuit New-York et que nous sommes venus nous installer en Floride !
Quand tu dis que tu as vécu 5 ans au soleil, tu étais aux US ou ailleurs ? En tout cas, nous te souhaitons bon courage pour trouver un emploi, cela devrait considérablement améliorer ta vision des choses. C’est ce que nous nous sommes dit pendant longtemps, si nous avions eu un job “stable”, la situation aurait sûrement été totalement différente…
Concernant ton partage de contacts c’est vraiment intéressant, et sur des forums d’expats tu pourrais très bien mettre en place ces rendez-vous mensuels entre français, ça existe déjà dans pas mal de villes 😉
super article, c est intéressant d avoir ce côté la de l’expatriation
moi New York est aussi sur ma wishlist mais juste pour un voyage de quelques jours
j imagine bien que c est différent entre aller dans une ville en voyage et y vivre réellement , les aspects négatifs que l on ne voit pas sont plus visibles sur la durée
contente d ‘apprendre que cela va mieux en Floride
endroit où j aimerais aller aussi
lol ma wishlist voyage est interminale aux Usa particulièrement !!
Ah oui dis donc, ta wishlist est sans fin 🙂 A part la Californie, tu as déjà eu la chance de visiter les Etats-Unis ?
non pas encore mais j ai hâte
Je découvre votre blog, c’est donc le premier article que je lis, et quel article ! merci pour ce retour d’expérience honnête, c’est rare de lire autant de franchise sur la blogosphère, surtout dans le domaine de l’expatriation. Tout doit être tout beau et tout rose, encore plus dans certaines destinations (dans mon cas, l’Australie) et si tu te plains c’est toi qui passes à côté, t’as qu’à laisser ta chance à tous les autres. Hâte de lire la suite des rebondissements !
Coucou Kenza ! Très chouette ton blog ! Je suis totalement d’accord avec toi, il y a trop peu de blogs d’expatriation qui abordent de façon franche les problèmes et les coups de blues que l’on peut ressentir. En étant à New York, imposible de dire ouvertement que ça n’allait pas, et que nous n’étions pas heureux d’être ici ! Personne ne comprenait… je vois que toi tu pars bientôt au Canada, c’est top ! On a visité une fois Montréal et on a beaucoup aimé, même si encore une fois, il ferait beaucoup trop froid au quotidien pour nous 😉 Tu t’installes où exactement ? Bonne continuation !
J’ai déjà vécu au Canada (suis une serial expat) donc j’hésite entre Toronto ou bien retourner dans ma province (anglophone) plus méconnue mais où sont mes amis et mon réseau !
Retourner dans un endroit familier est souvent beaucoup plus facile, surtout si tu as déjà tes amis et un réseau sur place ! Mais d’un autre côté, tout recommencer dans une ville inconnue, c’est ça qui, pour ma part, possède le plus de “challenge” ! Difficile de choisir effectivement ! Bonne installation en tout cas 😉
C’est bien comme ça que je conçois une installation à l’étranger ( où que ce soit ).
J’ai tenté il y a 6 ans de partir aux USA pour enseigner le français, mais dès le départ, les dès étaient pipés : j’ai postulé en m’inscrivant à une organisation pour obtenir la Green Card, mais il s’est avéré que c’était une organisation qui faisait de l’argent en faisant croire qu’elle pouvait aider en présentant le dossier auprès des administrations concernées.
Le réveil a été dur mais profitable car au vu de ce qui se passe actuellement, j’aurai très mal supporté l’ambiance générale qui règne dans ce grand pays.
Mais, je dois reconnaître que si j’avais été plus jeune, j’avais 60 ans à l’époque, et accompagnée, j’aurai foncée et aurais fait comme vous, relever ce nouveau challenge. J’en ai pas mal relevés dans ma vie.
Bonjour Jeanine !
Effectivement, il y a beaucoup d’arnaques autour de la Green Card, il faut être très très prudent ! Si tu as toujours la motivation, tu peux jouer à la loterie, c’est totalement gratuit, et peut-être comme nous remporter la carte verte ! Je te mets le lien qui t’expliquera (presque) tout si cela t’intéresse toujours. De notre côté, nous sommes également étonnés de tout ce qui se passe aux États-Unis, et on ne pense pas que ça va aller en s’améliorant… l’avenir nous le dira, mais en attendant, le rêve américain n’est certainement plus ce qu’il était ! En tout cas bravo, vouloir changer de vie à 60 ans, c’est admirable, et on espère qu’on aimera toujours autant le challenge d’ici là 😉
Salut, j’ai vraiment adoré tous les détails new-yorkais, mais svp j’aimerais savoir si après avoir gagné à la loterie, l’ambassade vous offre également le billet d’avion pour les USA ? Merci !
Salut Olivier, merci pour ton message ! La réponse est très simple : tu dois tout payer toi-même ! Envoi du dossier au KCC, traduction des documents, visite médicale, frais de visa, billets d’avion etc… L’ambassade ne paye strictement rien pour toi.
La seule chose qui est « offerte » c’est le droit d’immigrer légalement sur le territoire américain. Le rêve américain ça se mérite !
As-tu été sélectionné ou alors attends-tu les résultats qui devraient tomber en mai prochain ? En tout cas, bon courage 🙂
Je découvre votre blog grâce à Insta et je trouve cet article sur votre expérience personnelle très intéressant. Je me retrouve dans quelques points, même si mon année à New York s’est super bien passée, je comprends que ça peut être une ville étouffante. J’aurai pu rester plus longtemps mais pas trop non plus. Après je pense qu’au delà de la question de la ville c’est vrai que c’est une question de préparation et d’opportunités. Personnellement je vis presque l’inverse : après un an de travail à New York où tout s’est bien passé car j’y suis allée en ayant déjà trouvé le travail, je suis arrivée à Fort Lauderdale il y a deux mois (et au passage je suis de Lyon, je crois qu’on a pas mal de choses en commun 😉 ) mais mon visa (J2) ne m’autorise pas encore de travailler, du coup même si j’adore le climat, le fait d’être enfin avec mon chéri, et ben ne pas travailler est assez pesant – C’est pour bientôt j’espère ! – A NYC, j’étais libre comme l’air de visiter ce que je voulais quand je voulais grâce au réseau de transport en commun. Ici, la dépendance à la voiture est un frein pour moi… Mais bon, je ne vais pas me plaindre, vivre à 200m de la plage n’est pas donné à tout le monde !
Bonne continuation à vous deux et au plaisir de vous croiser sur Fort Lauderdale 😉
Alors ça c’est marrant en effet ! Je te contacte dans les prochains jours en MP, via ton blog, pour qu’on s’organise quelque chose 😉
Super article ! Ça fait du bien de lire un témoignage d’installation difficile dans une destination dite de “rêve” pour beaucoup de gens. Nous sommes dans la même situation mais en Martinique. Nous avons préparé un article faisant le bilan de notre première année sur l’île mais j’avoue traîner à le sortir car il y a beaucoup de choses négatives pour nous. Du coup j’appréhende un peu la réaction des gens pour qui cette destination est le paradis. En fait je pense que comme pour vous, la destination peut correspondre à certaines personnes mais pas à ce que nous nous espérions. Heureusement tout n’est pas négatif mais nous pensons déjà à la suite. D’ailleurs nous attendons mai et les résultats de la loterie avec impatience. Pour l’instant je lis tous les articles de votre blog qui est super !
Bonjour Laure !
Merci pour ton gentil retour ! Combien de fois on a entendu que, quand même, nous n’étions pas à plaindre parce qu’on vivait à New York ! Mais à chaque fois cela venait de personnes restées souvent en France, qui ne mesurent pas le changement de vie que cela peut être… Dans votre cas, c’est la même chose ! Les gens ne voient que le côté paradisiaque de l’endroit, les vacances toute la journée, les plages de rêves (je le sais bien, on a vécu en Nouvelle-Calédonie !), mais cela peut ne pas correspondre à tout le monde. Et bien souvent, il y a aussi des côtés négatifs que l’on découvre en s’installant sur place…quoiqu’il en soit, il faut voir ça comme une expérience dont il faut tirer profit au maximum ! Bonne chance pour la loterie, je croise les doigts pour vous 🙂 Peut-être que votre bonheur est aux Etats-Unis !!
J’ai lu ton blog avec beaucoup d’intérêt 🙂 Merci pour ce partage d’aventure!
Dans mon cas, je suis seul, j’ai aussi gagné le visa de permanent resident pour 1 an et donc la réception de la carte verte la prochaine fois que je mets les pieds sur le sol US. Mais voilà je me pose toujours beaucoup de questions car je viens tout juste d’avoir 24ans et je suis actuellement employé très bien rémunéré au Luxembourg avec des conditions plus qu’avantageuses et une possibilité de carrière plus que plaisante!
J’ai du mal à me décider sur soit; partir pour les US et repartir à 0 en tentant l’aventure ( c’est ce que je pense car je suis jeune et peu expérimenté donc pour trouver du boulot au début etc…) ou rester au Luxembourg et profiter d’avantages financiers et de conditions de vies au-dessus de tout mais dans un milieu et un mode de vie tellement monotone à mon goût….
J’ai peur aussi de regretter mon choix une fois aux US pour tout ce qui est conditions de travail, sécu, qualité de vie en général…! Je suis juste un super fan du mode de vie, des mentalités, du coté rock’n’roll que j’ai adoré lorsque je vivais pendant 1an en Californie! Une culture que j’adore!
Pas facile de se décider….
Salut Pierre !
Si l’expérience aux US t’a deja beaucoup plus, et que tu es prêt à prendre le risque, je pense que tu devrais saisir cette opportunité et partir à l’aventure ! Tu es jeune, tout peut t’arriver ici 😉 Il faut juste être conscient que c’est un vrai changement de vie… Se résigner à 24 ans à une vie de “confort” est peu être un peu dommage non ? Il faut juste que tu prépares bien ton expatriation, et pourquoi pas essayer de trouver un travail avant de quitter le tiens ?
Après, je comprends très bien ton indécision, c’est un vrai choix de vie que tu t’apprêtes à faire ! Bonne réflexion, et si tu te lances, bonne chance ! 🙂
Haha c’est marrant, moi j’ai adoré les deux ans que j’ai passé à new York mais j’avais un taf bien payé dans une boîte française et des conditions royales… J’avais plutôt rencontré plein de français sympas et solidaires… Ça doit vraiment dépendre des expériences.
Bon sinon je joue à la loterie depuis quatre ans et je n’ai toujours npas gagné haha je ne désespère pas 😜
Cool que vous vous situez finalement trouvés une situation plus confortable en Floride, en tous cas.
Merci pour ton petit message ! Oui, sans aucun doute cela dépend des expériences et des rencontres que l’on fait… et aussi de l’état d’esprit dans lequel on se trouve ! Nous étions bloqués sur une destination ensoleillée, du coup New York ne pouvait pas lutter contre ça 😉
Quelle idée de quitter Nouméa pour aller vivre à NY ?? Vous auriez quitté le village cafardeux et moche de Douchy les mines, OK, mais là, c’est évident d’être déçus !!
Pas forcément, il y a des personnes qui ne supportent pas de vivre sur une île et qui adorent vivre dans les grandes villes ! On a voulu tenter notre chance, et on s’est juste rapidement rendus compte que The Big Apple n’était pas fait pour nous à long terme 🙂
Salut amandine. Je trouve vos informations très enrichissantes une fois de plus merci pour ce que vous faites. J’ai une petite préoccupation. J’ai été sélectionné à la DV2019 zone AF26xxx. Je vis avec une femme et nous avons deux enfants nous ne sommes pas encore mariés. J’avais joué avec le statut de célibataire et même en remplissant le DS-260 j’ai mis toujours célibataire. Je voulais savoir si c’est possible que je parte aux US et que ma famille puisse me rejoindre plus tard car je ne dispose pas assez de moyens pour voyager en même temps avec toute ma famille.
Si vous faites cela, votre famille va mettre des années avant de vous rejoindre. Il vaut mieux partir tous en même temps.
Je rêve de vivre aux US pendant 1 an voir plus si j’ai mes chances !
Je me suis inscrite à la loterie, j’espère avoir mes chances ! 🙂
Mais je suis sourde, j’ai peur de tout quitter pour vivre la bas si les portes sont pas vraiment ouvertes pour les personnes comme moi.
Ton blog est vraiment bien, je découvre des choses ce qui se passe là bas et me préparer pour être sûre de moi de foncer !
Vous dites de bien préparer l’expatriation, c’est à dire ? De trouver du travail avant ? Financièrement ? Logement ?
J’aimerais savoir comment pour pas que je tombe dans le piège.
Merci 😊
Bonjour Marjorie,
Merci pour ton gentil message ! On te souhaite vivement de réaliser tes rêves ! Quand on dit bien préparer l’expatriation, c’est se renseigner sur le cout de la vie, avoir de l’argent de côté, savoir chercher un emploi dans ce nouveau pays, comprendre le fonctionnement de l’assurance santé, la location d’un appartement etc etc… Si tu as des questions plus précises n’hésite pas !
“La plupart des américains vivent pour travailler, alors que nous, nous souhaitons travailler pour vivre.”
C’est bien dans cette optique qu’on imagine notre vie en Floride…
Merci pour tous vos retours 😊